LA PEINE ET LA RECONNAISSANCE DES FRANÇAIS DANS LES LIVRES DE CONDOLÉANCES
« La participation des jeunes à l’émotion du peuple entier, l’élan de ces jeunes vers ce Charles de Gaulle dont ils semblaient soudain réaliser à quel point tant de ses aspirations et de ses exigences correspondaient aux leurs, furent peut-être les phénomènes les plus bouleversants et les plus parfaits que nous ayons connus durant ces jours où tout fut bouleversant et où tout fut parfait.
À travers les douze garçons de Colombey n’est-ce pas la jeunesse de France qui a porté Charles de Gaulle à sa dernière demeure ? Non pour l’y ensevelir. Mais avec le geste du paysan qui confie à la terre son espérance des lendemains. »
Michel Droit, Le Figaro
Dès 13h45, le 10 novembre, la foule se presse pour rendre un dernier hommage au général de Gaulle devant l’immeuble qui abritait son secrétariat particulier au 37, avenue de Breteuil à Paris. A 20h, plus de 3 000 personnes auront signé les registres de condoléances. Le 13, 26 200 signatures auront été apposées.
Dès 13h45, le 10 novembre, la foule se presse pour rendre un dernier hommage au général de Gaulle devant l’immeuble qui abritait son secrétariat particulier au 37, avenue de Breteuil à Paris. A 20h, plus de 3 000 personnes auront signé les registres de condoléances. Le 13, 26 200 signatures auront été apposées.