Les émeutes de Sétif (9 mai 1945) marquent les prémisses du nationalisme algérien, que la non-application du statut de 1948 renforce. Lors de la Toussaint 1954, une nouvelle génération de nationalistes algériens, menée par Krim Belkacem et progressivement coalisée dans le FLN, lance un soulèvement violent, dont l’objectif n’est plus l’égalité civique, revendiquée par Messali Hadj, mais bien l’indépendance.

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